On a causé place Gutenberg,
et tu m'disais que d'jà ton père,
avait vécu la même galère !
Transi de froid, toujours pas d'toit
Peu de bonheur, mais un grand cœur.
T'as pas un sou, mais tu es riche,
car côté cœur, jamais tu n'triches.
Un peu penaud , un peu idiot,
Je t'ai quitté , je t'ai laissé,
et une p'tite larme, j'ai du verser !
Promis , juré , je reviendrai,
Pas qu'pour causer , mais pour t'aider
à retrouver….. ta dignité .
« Jean-Louis POURE »
<< mercredi 26 décembre 2007 .
Ces quelques lignes,
2 heures après avoir quitté cet ami…
…sans abri !!! >>