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Jean Louis Ganier par Jacques Moussaron  @@@
Rosalie Ganier  par Pierre Siband  @@@
Note du webmestre: le travail de recherche et de synthèse de Pierre est magnifique...
Jean Louis Ganier serait né vers 1852 à Wisches
Il a épousé Marie Julie Mougeotte très certainement dans la région de Wisches
une de leurs filles Marie Catherine Ganier serait née également à Wisches vers 1877
et puis Lucie Ganier
cette famille part vers 1878 habiter à Bar-le-duc où
Louis Victor Ganier naît en 1880
ils auront un autre enfant Eugène Ganier
Mon beau-père Jean Ganier décédé en 1997, ancien pilote de l'aréo-navale, m'avait souvent parlé de l'origine de sa famille quelques part en Alsace, c'était un infatigable conteur... Il disait qu'un de ses ancêtres ou un proche parent avait été un Général issue de la révolution de 1789... François Joseph Drouot, signalé dans votre site, semble confirmer ses paroles ???  Il y a d'autres détails comme par exemple le nom de l'épouse de Julien Ganier : Catherine Mougeotte, qui laisse à penser que la liaison n'est pas très loin...
 
Note du weblmestre: la famille compte d'autres militaires illustres...
   
   > Joseph Stanislas GANIER (1779-1853)  Grand-père d'Henry Ganier Tanconville  >
   > Henry GANIER-TANCONVILLE
"( sous <chercher individu>, saisissez ou GANIER ou GANIERE ou GAGNIER ou GAGNIERE ou GANNIER ou GANIER )".
Descendant de Marie Catherine Ganier née en 1877 à Wisches par Jean-Pierre Humbert @@@
Une alliance Ganier - Hugues ***
 
> Les plaques sur la petite chapelle mortuaire du cimetière de Wisches mettent en évidence l'existence de liens de parenté entre les deux familles.
 
> La famille Hugues a longtemps exploité une scierie de près de 300 personnes. Cette famille avec la famille Frémiot a donné du travail aux habitants de la vallée de la Bruche pendant de nombreuses années.
Joseph Louis Albert Arthur GANIER
  * Né le 10 octobre 1841 - Wisches
   * Décédé le 16 mai 1913 - Wisches , à l'âge de 71 ans
   * Marchand de bois, Conseiller Général
Contribution de Dominique CADOUR..." Je savais déjà que nous descendions tous d’ Adam et Eve,
Les pièces jointes (ci-dessous) tendraient à prouver qu’Adam et Eve étaient originaires de la vallée de la Bruche."
 
Etudes à l' école de géomètres à Nancy,
Service militaire à la Batterie Géographique d' Offenbourg en 1971,
Veuf, une fille en 79, une petite fille en 2007 & un petit Fils en juin 2011
37 années dans le Groupe Vinci
Directeur Régional, en retraite depuis septembre 2009
Note de Pierre GAGNIERE " Nous descendons tous d'Adam et d'Eve ", certes, et nos ancêtres côté Ganière avant de s'installer du côté de Wisches étaient tous enclavés dans le Ban de la ROCHE ( http://charlren.free.fr/pages/accueilpag.html ). Et qui dit enclavé, dit mariages entre cousins approuvés par le clergé ( qui demandait autorisation en haut lieu à Strasbourg ), il y a d'ailleurs des écrits du pasteur Oberlin.
 
Lien vers  généalogie sur Internet
Nom d’utilisateur : dominique
Mot de passe : cadour
 
Des Ganier et la Légion d'Honneur... source Pierre Gagnière
Henri Joseph KARCHER
 
   Né le 26 octobre 1908 - Saint-Dié, Vosges, France
   Décédé le 31 juillet 1993 - Sarrebourg, Moselle, France , à l’âge de 84 ans
   Chirurgien
HENRI KARCHER (1908-1983)
 
Neveu du pionnier de l’aviation Pierre MARIE, fils d’un officier mort à l’ennemi, Henri Karcher fut toute sa vie un combattant. Il aurait voulu faire Saint-Cyr, mais sa mère, veuve d’un officier formé à Saint-Cyr, s’y opposa avec détermination. Le goût pour le combat et le service des autres le mena à la médecine et à la chirurgie. Mais, par deux fois, les événements lui firent interrompre sa carrière : la Seconde Guerre Mondiale fit de lui un combattant de la Liberté ; en 1958, le Général de Gaulle le mobilisa pour un nouveau combat dont il ignorait tout et pour lequel il avait peu de goût : le combat politique.
 
Henri Karcher naquit à Saint-Dié le 26 Octobre 1908 où son père tenait garnison. Il passa une partie de son enfance à Saint-Maixent où son père était instructeur, puis à Nancy lorsqu’il fut nommé capitaine au 69° RI en 1913. Le Capitaine Karcher fut tué à l’ennemi le 28 Août 1914, à la Bataille du Grand Couronné, près de Vitrimont.
 
LE CHIRURGIEN
 
La famille Karcher s’installa à Paris où Henri fit ses études secondaires. Après son baccalauréat, il s’inscrivit à la Faculté de Médecine de Paris. Dès qu’il en eut l’occasion, il assuma les fonctions d’externe des Hôpitaux de Paris. C’est à ces occasions qu’il contracta une grave affection qui décida les autorités militaires à le réformer définitivement de tout service actif.
 
En 1935, il décida de se spécialiser en chirurgie et entra à l’Hôpital Saint-Joseph en qualité d’interne. Il fut, entre autre, l’assistant du Docteur Laurence, chirurgien de cet Hôpital. Il s’intéressa à tous les aspects de la chirurgie, pratiquant plutôt la chirurgie abdominale, spécialité sur laquelle il fit sa thèse qu’il soutint devant un jury présidé par le Professeur Pierre Duval, alors vice-président de l’Académie de Médecine.
 
3 Septembre 1939. La France déclara la guerre à l’Allemagne nazie pour honorer le traité qui la liait à la Pologne. Ce fut ce qu’on appella “la drôle de guerre”, les belligérants restant sur leurs positions. En janvier 1940, le Docteur Karcher, qui avait été réformé de tout service actif, décida de prendre sa part de la défense de la France, non dans le service de santé, mais dans l’infanterie. Elevé dans la vénération d’un Père tué à l’ennemi, reprendre la place de ce Père dans cet autre combat contre le même adversaire lui semblait s’imposer.
 
Son beau-père, le Général Béjard (1), qui commandait alors le secteur fortifié de Maubeuge, refusa d’intervenir pour lui permettre d’entrer dans l’infanterie. Il menaça de s’engager dans la Légion Etrangère, et c’est finalement une intervention du Président Daladier qui lui permit d’intégrer le 24 ° R.I.
 
L’OFFICIER
 
Henri Karcher était un bon chirurgien : à lui de prouver qu’il pouvait être un bon fantassin.
 
Le 24° RI faisait partie de la 10° Division d’Infanterie, dite “la division de Paris”, stationnée dans la région parisienne. En visite dans sa caserne, le Général Béjard le fit appeler, ce qui surprit beaucoup ses camarades qui n’en crurent pas leurs yeux lorsqu’ils virent le soldat Karcher embrasser le Général !-”Attendez, demain, j’ embrasse un autre Général !” Et le lendemain, il reçut la visite de son oncle, le Général Karcher ! Un fantassin chirurgien embrassant des généraux, voilà qui n’était pas banal.
 
Promu caporal, il intégra un peloton d’élèves-officiers qu’il ne put terminer : le 10 Mai, les Allemands envahirent la France. Rattaché à l’Armée de Couverture de Paris, le 24° RI fut contraint de reculer jusqu’à la Loire, puis de plus en plus loin vers le Sud. Le 14 Juin, les Allemands entrèrent dans Paris et le gouvernement français capitula le 22 Juin. Le 24, le sergent Karcher se trouvait à Saint-Jean-de-Luz et tentait de s’embarquer pour l’Angleterre. Comme les Anglais refusaient d’embarquer les soldats d’un pays qui avait capitulé, Henri Karcher entraîna plusieurs camarades à se faire passer pour des Polonais : l’uniforme était le même, il suffisait d’y ajouter un drapeau polonais. Ils montèrent sur le “Castle Nairn” qui les mena à Liverpool.
 
Après avoir rejoint un camp d’instruction où 2.500 français constituaient le noyau des Forces Françaises Libres, il se trouva encore obligé de se battre pour ne pas être versé dans le service de santé des FFL. C’est à cette époque qu’il fit la connaissance de François Jacob (1) alors âgé de 20 ans, qui était en deuxième année de Médecine et aurait préféré servir dans l’artillerie, mais, nécessité faisant loi, se retrouva médecin-auxiliaire : il obtint néanmoins de son aîné l’assurance de sa collaboration en cas de besoin.
 
L’occasion se présenta sur le navire qui les menait à Dakar : le sergent Karcher fut appelé à opérer une appendicite sous les yeux étonnés d’une jeune infirmière anglaise qui n’avait jamais vu un sergent d’infanterie pratiquer une opération chirurgicale : “Dans l’Armée Française, lui dit-il, on sait tout faire. Je ne suis que sergent, mais vous verriez l’adjudant !...”
 
Pendant toutes ses campagnes, il intervint toujours pour soigner et opérer les blessés. Il participa en Novembre 1940, à la campagne du Gabon, puis ce fut la marche vers l’Erythrée et la Libye. En Syrie, il participa avec tristesse aux combats contre les troupes françaises restées fidèles au Maréchal Pétain.
 
Nommé sous-lieutenant, Henri Karcher fut blessé le 15 Juin 1941. Lorsque fut créée la 1° Brigade Française Libre, le Général Koenig en prit le commandement et tint, face à Rommel et à l’”Afrika Korps”, le fort de Bir Hakeim. En Octobre 1942, Henri Karcher était à El Alamein où les troupes britanniques du Général Montgomery battirent les troupes de Rommel qui furent repoussées jusqu’en Tunisie.
 
En Mai 1944, après un séjour à l’hôpital, il rejoignit la 2° DB du Général Leclerc en Angleterre. La Division débarqua près de Sainte-Mère-Eglise le 1° Août 1944. A nouveau blessé le 11 Août, il refusa de se laisser évacuer pour participer à la légendaire charge de la 2° DB sur Paris. Le 25 Août, à la tête de sa section, il entra à l’Hôtel Meurice où se trouvait le QG du Général allemand von Choltitz, Commandant de Paris depuis le 7 Août 1944, abattit un garde et captura le Général et tout son Etat-Major. Amené au Général Leclerc à la Gare de l’Est, von Choltitz signa la capitulation de Paris.
 
De retour à Paris en vainqueur, Henri Karcher téléphona à sa mère : à sa grande surprise, ce fut son beau-père, le Général Béjard, que les allemands avaient libéré de sa prison de Königstein en 1943 pour raisons de santé, qui lui répondit. Le lieutenant eut le plaisir de lui dire : “Malgré vos sombres pronostics sur ma carrière militaire, j’ai le plaisir de vous annoncer que j’ai fait prisonnier un Général !”. Le général Béjard en resta sans voix, mais son épouse, sans nouvelles de son fils depuis Juin 1940 poussa un hurlement de surprise et de bonheur !
 
Henri Karcher resta à Paris après la libération de la ville, étant nommé aide de camp du Général Koenig. Il fut promu capitaine en Avril 1945, et, le 17 Novembre 1945, le Général de Gaulle lui décerna la Croix de la Libération.
 
Terriblement marqué par ce qu’il avait vécu, le Docteur Karcher eut du mal à reprendre la vie civile. Ayant été interne à l’Hôpital Saint-Joseph, hôpital privé, il dut repasser l’internat des Hôpitaux de Paris. Il se spécialisa en orthopédie et opéra régulièrement à Saint-Joseph. Un vendredi par mois, il venait à Metz et opérait à l’Hôpital Bon Secours.
 
Il en profitait pour faire des séjours à Abreschviller, à la saison de la chasse, mais aussi en été. La maison familiale de la Rue Pierre Marie abritait alors sa mère et son beau-père, le Général Béjard, qui gérait les forêts ainsi que les deux scieries que la famille avait conservées : à Turquestein, la scierie du Bourguignon, et dans la Vallée de la Sarre Rouge, la scierie Jaxel, dite “Scierie du Jolo”. Le Général Béjard mourut des suites d’un accident de voiture en 1956.
 
L’HOMME POLITIQUE
 
1958. La guerre s’enlisait en Algérie, la IV° République agonisait. Le 13 Mai 1958, le peuple d’Alger se révolta et le Général de Gaulle revint au pouvoir. Ainsi naquit la V° République.
 
Le Général avait besoin d’hommes de confiance pour former une majorité à l’Assemblée Nationale. Le Docteur Karcher se considèra comme mobilisé et accepta de troquer la blouse du chirurgien contre le costume du Député : il fut triomphalement élu dans le XVI° Arrondissement de Paris sous l’étiquette “Union pour la Nouvelle République” (U.N.R.). Ce fut la difficile période des “Accords d’Evian” et de l’indépendance de l’Algérie.
 
Le Docteur Karcher aurait pu être facilement réélu à Paris, mais son caractère entier ne facilitait pas ses relations avec certains députés parisiens de la Majorité. Il céda aux sollicitations des gaullistes de Sarrebourg qui lui demandaient de se présenter en Moselle. Malheureusement, son suppléant, le Docteur Hansch, très connu et très aimé dans la région de Sarrebourg, décéda quelques jours avant le scrutin. Bien que n’ayant pas de suppléant, il fut député de 1962 à 1967.
 
Pendant ces années-là, il fut élu Vice-Président de l’Assemblée Nationale, et Conseiller Général de Sarrebourg. Mais, dans cette région rurale de Lorraine, berceau de sa famille, le chirurgien du XVI° Arrondissement de Paris semblait bien lointain : il était impressionnant, tant par son attitude que par son glorieux passé.
 
A l’Assemblée Nationale, il fut membre de la Commisssion des Affaires Culturelles, Familiales et Sociales, de 1958 à 1962. Lors de sa seconde législature (1962-1967), il siégea à la Commission de la Défense Nationale et, en 1963, à la Commission chargée du projet de loi sur la production et la structure foncière des forêts françaises. Il intervint à l’Assemblée pour améliorer les liaisons ferroviaires et routières du Sud de la Moselle. Mais il ne fut pas réélu en 1967.Il aurait alors aimé reprendre sa carrière de chirurgien, mais sa vue ne le lui permettait plus. Il se contenta alors des fonctions d’expert auprès de la Cour d’Appel de Paris jusqu’en 1979.
 
Henri Karcher fut toute sa vie très attaché à son village d’Abreschviller dont il était membre du Conseil Municipal aux côtés du Maire, son ami le Docteur Bussienne. Il y passait une partie de l’été avec sa famille, celle de sa soeur et de nombreux amis. Il organisait de mémorables parties de chasses dans leurs forêts d’Abreschviller et de Hattigny auxquelles étaient conviés de nombreuses personnes de la région. Il invitait également de nombreux amis dans le domaine de Sologne que sa mère avait acquis en 1922.
 
Henri Karcher aimait rendre service à ses concitoyens ; il opéra avec succès plusieurs personnes de la région ; il intervint parfois pour clarifier certaines situations lorsqu’il était député, tant pour des personnes privées que pour des communes ou des associations. Il se sentait très proche de tous ceux qui, comme lui, avaient lutté contre le nazisme, et en particulier proche des “Passeurs” d’Abreschviller et de la région de Sarrebourg. A l’inverse, il ne pardonnait à personne d’avoir eu des faiblesses pendant la guerre.
 
Son éducation par une mère très pieuse, sa jeunesse pendant laquelle son Père lui avait cruellement manqué, ses années de guerre, avaient façonné en lui une certaine raideur de caractère et un sentiment assez particulier du religieux.
 
Il avait souvent évoqué l’idée de faire revenir le corps de son Père de Nancy à Abreschviller, et il désirait être inhumé avec lui. Lorsque sa mère mourut, le 22 Août 1975, il la fit inhumer aux côtés du Général Béjard dans la chapelle funéraire que son grand-père Joseph Bournique avait fait ériger pour son fils Pierre-Marie.
 
En Juillet 1983, sa santé déclina. Il désira passer l’été à Abreschviller. Il vint avec son épouse dans la maison familiale, mais la fièvre le prit. Il fut hospitalisé à Sarrebourg et demanda le Sacrement des Malades.
 
Il décéda le 31 Juillet à l’âge de 75 ans. Selon son désir, il fut inhumé au cimetière d’Abreschviller dans la tombe de ses cousins Aimé.
 
Deux places lui ont été dédiées, à Paris, dans le 1°Arrondissement, et à Abreschviller.
 
Texte écrit par Michel-F. HENRY
Membre de l’Association des Ecrivains Combattants.
Retrouvez le texte original ICI
 

   Commandeur de la Légion d’Honneur
   Compagnon de la Libération  -  décret du 17 novembre 1945
   Croix de Guerre 39/45 (3 citations)
   Médaille de la Résistance
   Médaille des Blessés
   Croix du Combattant Volontaire 39/45
   Croix du Combattant Volontaire de la Résistance
   Médaille Coloniale avec agrafes « Libye », « AEF »
   Médaille Commémorative 39/45
   Médaille Commémorative des Services Volontaires dans la France Libre
   Médaille Commémorative du Levant
   Presidential Unit Citation (USA)
 
http://www.ordredelaliberation.fr/fr_compagnon/516.html
Une célébrité dans la descendance Ganier par Pierre Ganière...
J'ai découvert aujourd'hui qu'à partir du couple Louise Ernestine GANIER ( née à Wisches le 27/8/1835 : http://gw.geneanet.org/pganiere_w?lang=fr;pz=diego;nz=ganiere+diaz;ocz=0;p=louise+ernestine;n=ganier ) mariée à Jean Baptiste Edouard BOURNIQUE, présent dans l' arbre GANIER, si j'ai bon souvenir, que leur descendance a engendré le lieutenant Henri KARCHER, c'est lui qui a capturé avec l'avancée des troupes du Gal LECLERC sur Paris, le Général Von Scholtitz, gouverneur de Paris : fait historique repris sous les traits de Jean-Pierre CASSEL au cinéma dans le film "PARIS brûle t'il ? ".
Nicolas Adolphe GANIER
 
Né le 8 août 1831 - Russ
Décédé le 9 octobre 1884 , à l'âge de 53 ans
Capitaine de la 1ère Légion de Gendarmerie du Pas-de-Calais
 
Parents
 
François GANIER 1772-1859
Rosalie RESTIGNAT 1797-1859
 
Marié le 4 décembre 1861 avec Adolphine CARON
 
Frères et soeurs
 
Elie Rosalie GANIER 1827-1910
François Louis Edouard GANIER 1828-1829
François Adelphe GANIER 1830-1830
Nicolas Adolphe GANIER 1831-1884
Pélagie Eléonore GANIER 1832
Marguerite Isabelle GANIER 1834
Marie Camile GANIER 1835-1836
 
Chevalier de la Légion d'honneur par décret du 18 janvier 1881rendu sur le rapport du ministère de la Guerre. Domicilié à Abreschwiller, Meurthe.
 
Source : Archives Nationales
George Ferdinand GANIER
 
Né le 24 décembre 1848 - Wildersbach
Décédé le 3 août 1900 - Saint-Louis, Sénégal , à l'âge de 51 ans
Chef de Bataillon au 14° Régiment d'Infanterie de Marine
 
Parents
 
Jean Louis GANIER 1816
Marie Salomé LOHER 1826
 
Marié le 3 octobre 1895 avec Antonine Léonie BANDER
 
Frères et soeurs
 
Louis Alfred GANIER 1846
George Ferdinand GANIER 1848-1900
Joseph Ernest GANIER 1851
 
Officier de la Légion d'honneur par décret du 7 avril 1898 rendu par le Ministère de la Marine. Domicilié à Saulxures, Vosges.
 
Sources: Archives Nationales
>>>>   des liens généalogiques insolites entre la famille de ma Femme et la mienne et, entre la Famille de mon Gendre et la mienne !
Cliquez ici
 
***   Auguste HUGUES  
  État civil
 
Né le 8 avril 1816 - Hyères, Var
Décédé
Capitaine
   Mariage(s)  
 
Marié le 10 novembre 1851, Wisches, avec Elie Henriette GANIER 1832 (Parents : Joseph Louis GANIER 1808 &  Rosalie Elie RISTROPH ca 1812)
 
  Notes
 
Capitaine au 17° Régiment d'Infanterie légère.
 
Chevalier de la légion d'honneur.
 
Domicilié à Strasbourg.
 
Mariage autorisé par Monsieur le Ministre de la Guerre suivant la permission du 10/10/1851.
 
Contrat de mariage a été passé le 26/10 par devant Maître Werling, notaire à Strasbourg.
 
Sources: documents relevés par Pierre Ganière
- naissance: son acte de mariage
- mariage: ADELOCH acte n°74 page 25/30, Wisches, NMD, 1851, 4 E 543/
Louis Ganier adulte
Louis Ganier jeune
Des ancêtres communs par Pierre Ganière  @@@
 
Je m'appelle Pierre GANIERE et je me suis laissé griser depuis peu à l'idée de remonter le temps parmi les miens et à en découvrir leurs histoires et autres anecdotes qui font la saveur d'une vie... J'avais en ma possession une partie des travaux diligentés par mon père, mais qui ne remontaient pas très loin dans l'ascendance de mon arbre. Puis, il y a 3 ans environ au Salon du livre de Colmar, stand généalogie, j'ai pu entrer en contact par personne interposée avec M. LAUER, président du CEDEHEG ( http://charlren.free.fr/pages/accueilpag.html ) dont les travaux m'ont permis de joindre l'arbre incomplet de mon père à Isaac né entre 1585 et 1590, mais en ne retenant toutefois que les branches principales. Enfin, grâce à Généanet je suis tombé sur le profil et l'arbre d'Evelyne PLEWA qui a corroboré les travaux de M. LAUER et qui a plus que tout comblé les branches annexes de façon très exhaustive et avec le plus grand sérieux. Un grand merci à elle !!! Pour finir, j'ai pu greffer le travail mené par Christian GANIER, pour la branche des GAGNIERE " émigrée " à Wisches ( www.ganierdewisches.fr ), ainsi que ceux de descendants aujourd'hui installés aux USA ( un courrier d'une GANIERE, membre des mormons m'a permis de constater qu'une lignée de GANIERE se rattachait à mon arbre ). Dans un premier temps, ne disposant pas de logiciel de généalogie, je vais entrer toutes ces informations à la main. Puis je procéderai au travail de fond de réconciliation de mes informations ( actes de naissance, mariage, décès... ). Enfin, j'espère bien pouvoir rendre vivante cette généalogie en ligne, plus conviviale en l'agrémentant de photos et autres silhouettes de mes ancêtres réalisées par le pasteur OBERLIN ( dont la servante était une certaine Anne-Catherine GAGNIERE )...
Ma trisaïeule Rosalie Ganier est née à Wisches en 1826.
Elle était fille de Joseph Ganier (1791->1843), cultivateur, et de Rosalie Ganier (1792-1866), et avait quatre frères et trois sœurs.
L’acte notarié de succession de sa mère me donne quelques informations sur sa famille, dont plusieurs sont partis, dans les chemins de fer à Paris, en Amérique, en Algérie.
« La mienne » a accompagné en Algérie sa sœur, Célestine, qui venait d’épouser (à Wisches, en 1843) Jacques Ambroise Ganier, fils de Hubert Ganier et de Agathe Sponne, lequel, après 14 ans d’armée (probablement deux remplacements de malchanceux au tirage au sort) participait à la création d’un village de colons militaires, Mahelma. C’est là que Rosalie épousa mon ancêtre ardêchois ...>
 
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